Revivez avec nous cette journée consacrée à nos mamans, mamies, filles, jeunes filles, et petites filles, retraitées ou actives, aux femmes qui font la vie.
Femmes solidaires
Marie-Line et Marie-Christine Gozdzik (filles de Julia Gozdzik – dont la Maison de quartier porte le nom) étaient à l’entrée de la structure de Sabatier avec des tee-shirts, badges et carnets à l’éffigie de l’association.
On retrouve dans le hall d’entrée une exposition qui retrace le militantisme féministe, depuis “l’Union des Femmes”, jusqu’à la création du mouvement “Femmes Solidaires” dans les années 2000.
Cliquez sur l’image pour en savoir plus sur l’association Femmes Solidaires
À la Maison de Quartier Joliot Curie, une soirée repas spectacle se prépare.
Les dames du Petit Paris et de Beauchamp partiront en début de soirée casser la croute au Flunch de Petite Fôret pour ensuite se divertir devant un spectacle “Ces Femmes qui ont Réveillé la France” au Théâtre des Sources. Rendez-vous demain pour les photos !
Ne manquez pas, à la Maison de Quartier Joliot Curie, demain jeudi 9 mars, l’expo photo mode et femmes célèbres. Organisée en partenariat avec l’INSTEP l’expo retracera l’évolution de la mode des années 50 à nos jours. Vous pourrez aussi assister à des minis sketch et profiter d’ateliers bien-être
Journée internationale des droits des femmes
Portraits d’habitantes bénévoles @MQSabatier
Focus : Gisèle Halimi
Née le 27 juillet 1927 à La Goulette en Tunisie et morte le 28 juillet 2020 à Paris, est une avocate, militante féministe et femme politique franco-tunisienne.
Source : wikipédia, cliquez ici pour lire l’article dans son intégralité
Figure du féminisme en France, elle est la seule avocate signataire du manifeste des 343 de 1971 réunissant des femmes qui déclarent avoir déjà avorté et réclament le libre accès à l’avortement, alors réprimé en France. Dans la foulée, elle fonde le mouvement Choisir la cause des femmes, aux côtés notamment de Simone de Beauvoir et Jean Rostand. En 1972, lors du procès de Bobigny, son action en tant qu’avocate de femmes accusées d’avortement illégal permet l’acquittement de trois des accusées ainsi qu’un sursis pour la quatrième, et contribue à l’évolution vers la loi Veil sur l’interruption volontaire de grossesse, en 1975.
De même, sa stratégie de défense médiatisée de deux jeunes femmes victimes en 1974 d’un viol collectif jugé en 1978, Anne Tonglet et Araceli Castellano, contribue à l’adoption d’une nouvelle loi en 1980, définissant clairement l’attentat à la pudeur et le viol, permettant de reconnaître ce dernier comme un crime, alors qu’il était traité jusque-là le plus souvent comme un délit en droit français.